Le recours à l’art thérapie reste sous exploité. Les études, pourtant, se multiplient qui démontrent qu’il améliore le destin de nombreux malades : ceux qui, tous âges confondus, souffrent de maladies psychiatriques ou de lésions neurologiques, les personnes en situation de handicap mental, les personnes âgées démentes, les patients atteints de la maladie de Parkinson, mais aussi les femmes qui ont traversé un cancer gynécologique, ou encore les enfants victimes d’un traumatisme. A vrai dire, on ignore à qui cette approche ne serait pas profitable.
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